Veillée Pascale 2024 à Bressuire

Veillée Pascale 2024 à Bressuire

Veillée Pascale 2024 à Bressuire

La célébration était présidée par le Père Joël Diantama assisté du Diacre Pierre Bureau.
Celle-ci a commencé par un accueil convivial à l’école de Rhéas puis par l’habituel « Feu Nouveau » suivi d’une marche jusqu’à l’église Notre-Dame de Bressuire.
Environ 80 personnes (des enfants, des jeunes parents, des aînés ont participé)

Entrée en procession dans l’église Notre Dame.

Après le chant de l’exultet, un  temps d’écoute de textes bibliques (dont le récit de la Genèse animé par les enfants avec des panneaux relatant la création) et d’acclamation de la parole, ponctué de plusieurs chants de louanges,puis une procession des offrandes apportées par les enfants, chacun a pu manifester sa joie et dire « Jésus est ressuscité, il est vraiment ressuscité » entrainé par le P. Joël.

En fin de célébration, les représentants des communautés du bressuirais sont repartis avec le cierge pascal destiné à chacune de leur église. Les fidèles, venus nombreux, ont beaucoup apprécié cette veillée et ne se sont pas ennuyés.
Après la célébration, la traditionnelle galette de Pâques était proposée avec quelques chocolats, un moment aussi agréable de faire découvrir nos traditions pascales à ceux qui étaient de passage dans notre paroisse !

Messe chrismale 2024.

Messe chrismale 2024.

Vous le savez, cette année le temps pascal sera consacré à la prière pour les vocations, vocations aux ministères ordonnés et vocations à la vie consacrée.

Le temps pascal s’achèvera, comme il se doit, avec la Pentecôte, et, pour nous, par le pèlerinage des cinq diocèses de la Province à Rochefort et à l’Ile Madame… il est plus que temps de s’inscrire.

Je remercie les personnes et les services qui portent la préparation et l’organisation et de cette prière pour les vocations, et du pèlerinage de Pentecôte, tout particulièrement les services des vocations et ceux des pèlerinages.

 

Les évêques ont, parfois, des idées… heureusement que des personnes les mettent en œuvre !

Je me pose parfois cette question : est-ce que cela sert à quelque chose de prier pour les vocations ? Comme de prier pour quoi que ce soit d’ailleurs.

 

Bien entendu, je ne peux que répondre « oui » à cette question, mais, ce qui compte, c’est de donner un sens à ce « oui ».

Ce sens on le trouve dans la prière par excellence, la prière du Seigneur : il dit à son Père et notre Père : « que ta volonté soit faite ».

 

Lire la suite de l’homélie →

 

La messe chrismale, présidée par l’évêque, reçoit cette appellation parce que c’est au cours de cette célébration que le Saint Chrême est consacré. Cette huile servira dès les baptêmes de Pâques puis tout au long de l’année pour les sacrements du baptême, de la confirmation et de l’ordre.

Avec le Saint Chrême qui est l’objet d’une consécration spéciale, deux autres huiles sont bénites :

  • l’Huile des catéchumènes qui sert dans les célébrations préparatoires au baptême surtout pour les adultes ou les enfants déjà grands.
  • l’Huile des malades qui sert dans la célébration du Sacrement des malades

La consécration du Saint Chrême est une liturgie plus solennelle que la bénédiction des huiles. L’évêque verse le baume dans l’urne, puis il dit une longue prière de consécration. Pendant cette prière tous les prêtres concélébrants étendent la main vers le Saint Chrême. »

« S’engager à plus de justice et de sobriété »

« S’engager à plus de justice et de sobriété »

Cette soirée « s’engager à plus de justice et de sobriété » proposée par le CCFD-Terre Solidaire à Bressuire et Cerizay, a permis d’élargir notre horizon à la solidarité internationale.

 

Pour nous catholiques, cette ouverture aux autres trouve son origine dans l’alliance que Dieu fait avec l’homme et qu’il nous manifeste dans le don de son corps le jeudi saint, mais chaque fois que nous communion. Le repas pris à la table de l’eucharistie est signe de la fraternité universelle. Dieu continue ainsi de nous renouveler cette alliance…Ce que vivent nos frères lointains nous touche, comme dans une famille…
A travers la découverte des actions de 4 partenaires du CCFD-Terre Solidaire : quatre visages du carême parmi les 525 partenaires et projets accompagnés par le CCFD-Terre Solidaire dans 70 pays à travers les continents. De courtes vidéos illustrent le contexte local. Chacun de ces partenaires agit dans le concret de sa situation :
Au Sénégal, la pêche artisanale est un pilier de la sécurité alimentaire. 600 000 personnes (pêcheurs, transformatrices, intermédiaires…) vivent directement de cette filière économique. Mais depuis quelques années une partie de la pêche est détournée de l’alimentation locale au profit de la transformation de poissons en farines ou en huile destinés à l’export. « ADEPA » lutte contre l’accaparement des mers pour sauvegarder la sécurité alimentaire. (vidéo : https://youtu.be/IHAUR2Np7R4 )
Au Liban, soutenir un nouveau modèle agricole. « MADA » a mis en place ces dernières années des formations à l’agroécologie auprès de paysans libanais. L’association a aussi soutenu des initiatives solidaires à Beyrouth , telles que Nation Station, une cuisine solidaire et une épicerie sociale. (vidéo : https://vimeo.com/910366661?share=copy )
Au Brésil, « Justica nos Trilhos (JnT) » défend les droits humains et de la nature en Amazonie brésilienne. Les communautés indigènes souffrent des effets dévastateurs sur la nature de l’exploitation minière dans cette partie de l’Amazonie brésilienne et de l’agro-industrie qui a confisqué les terres autochtones ancestrales avec le soutien de l’État, et imposé la monoculture (soja, eucalyptus) destinée à l’export au détriment de leurs propres cultures. « JnT » soutient l’agriculture familiale et les pratiques agroécologiques auprès des communautés. Elle forme par exemple des agriculteurs à la construction de barraginhas, « petits barrages », capables de capter et de stocker l’eau de pluie, outils essentiels dans des régions qui souffrent de la sécheresse et du changement climatique. (vidéo : https://youtu.be/Zo7AE-YWEAo )
En Inde : L’avenir de la société indienne se joue dans les villes, « People’s Resource Centre (PRC) » s’intéresse en particulier à la question de l’aménagement de ces grandes cités et de la place de la nature en ville, et notamment celle de l’agriculture urbaine capable d’apporter une sécurité alimentaire locale avec des espaces de maraîchage, de jardins potagers ou de toits cultivés. L’association réfléchit aussi au rôle des fleuves et des rivières dans la ville et leur aménagement, la pêche étant aussi une ressource alimentaire à prendre en compte pour les populations urbaines. L’objectif est de proposer des modèles de développement urbains alternatifs plus durables, soutenables et humains. (vidéo : https://youtu.be/ZeequP2W-WM )
Puis un temps de réflexion – soutenu pas quelques questions : les faits, les causes, les conséquences… qu’est-ce qui est injuste là-bas ? Lien là-bas/ici ; leur vie/ma vie ; comment je peux les aider dans mon action quotidienne ? La sobriété c’est quoi chez nous ? a permis de terminer la soirée par une prière universelle faite d’actions de grâce et de demandes.
Une pomme, du pain et de l’eau partagés ont conclu ces soirée.
–o–
Le Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement CCFD-Terre Solidaire dont la finalité est l’éradication de la faim par le développement, agit dans quatre domaines :
– souveraineté alimentaire
– migrations internationales
– paix et vivre ensemble
– justice économique.
Pour cela il actionne trois leviers :
– le partenariat à travers les projets de ceux que nous accompagnons : aide et soutien, mais ne pas décider et faire à la place de…
– l’éducation au développement ici : sensibiliser à la solidarité internationale dans les 4 domaines. Ce soir la justice économique.
– le plaidoyer : interventions auprès du pouvoir politique en France, en Europe et dans les pays des partenaires avec eux. Le plaidoyer a plusieurs actions : les pétitions en sont une, les manifestations… notre façon de voter…
Vivre différents en Eglise

Vivre différents en Eglise

La question serait alors de se dire pourquoi il est essentiel, qu’en Eglise on puisse consentir à la différence

-références aux vieux textes de la Genèse (GN2,GN2)

– parce que le seul monde habitable est différencié

– L’histoire du peuple de Dieu ne peut pas se penser en dehors du différencié. La différence est structurante de l’humain. Le premier être différent de nous-même, c’est nous même (notion de plasticité, notion d’écart)

– F. Julien : notion de décoïncidence. à propos de la différence il appelle ça la «decoïncidence » ! en disant la Vie surgit parce qu’il y a de la décoincidence et tout notre problème c’est que nous on voudrait coïncider (avec la vie …) Coïncider c’est quand vous êtes collé et quand vous êtes collés il n’y a plus de jeu ! c’est qu’il n’y a plus de je eh bien il y a cette métaphore :  le plus grand decoïncident c’est Jésus parce qu’il a fait decoïncider le Tombeau de la Mort, soulever le tombeau qui par définition enferme les mourants de la vie +++

– S’il y a un enjeu à la différence c’est un enjeu de vie ou de mort !

– Tout se qui se ressemble de trop est source d’abus , d’abus de pouvoir, de conscience.

Plus il y a de l’entre-soi, plus le seuil de vigilance s’abaisse, d’où les risques., quand tout est implicite, risque d’insupportable

– C’est une raison vitale, parce que l’humain est constitué d’altérité en lui-même

Deuxième raison : vitale mais aussi biblique : Jésus est le même que nous mais il est Autre car il est le Fils de Dieu. Il est l’Autre qu’en étant le même, et le même qu’en étant l’autre ! = Le mystère de l’Incarnation.

Autre raison théologique : L’hospitalité, faire hospitalité : s’ouvrir à autrui, accueillir l’étranger de nous-même ;des uns envers les autres au sein de la communauté ; être hospitalier à soi, à son histoire

  • Faire hospitalité à une singularité, à une dignité.

– Riva :  le philosophe écrit, pour marquer l’importance, la différence avec un grand A pour insister sur le A pour bien montrer qu’elle est importante au monde, quelle  est vitale, quelle est fondamentale dans notre monde

– La Parole : La Parole de Dieu, : être ensemble pour l’écouter, mais aussi la parole, qui s’échappe toujours de tout le monde, la parole qu’aucun de nous ne possède. Elle fait hospitalité à toutes les existences. Le propre de la Parole de Dieu de la Bible, c’est d’être hospitalière à toutes nos histoires : la lire en petit groupe, en communauté, où vous voulez…c’est elle qui fait hospitalité de nos différences… Le premier qui accueille la différence des humains, c’est Dieu et c’est ce que fait sa parole d’accueillir toutes les histoires humaines. L’Eglise est foncièrement faite pour être en sortie, c’est sa vocation pour se rassembler et se faire témoin de Jésus Christ : enjeu missionnaire.

Comment faire : Vatican II ch2 « L’Eglise est un peuple de baptisés, égaux en dignité » : Ce n’est qu’ensemble que nous pouvons le faire = La marche synodale les uns avec les autres…avec des sensibilités différentes.

-Ceci implique la conversation et comment faire conversation : ça s’apprend ! C’est un combat ! notion de méthode non violente. On ne sait qu’ensemble. On ne converse que pour aller plus loin.

Notion d’altérité et d’altération’ : pour transformer l’altération en altérité, il faut de la connaissance, de l’altérité

Donc qu’est ce qui éduque nos relations ? le travail de la différence qui n’a pas peur qu’on la confronte à des questions différentes, à certaines incohérences comme certains d’entre nous. La Sagesse +++

  • Le Point sur la CIASE : on a appris (quelque chose de modeste mais de bien réel) que la vérité venait de l’extérieur, faisant aussi la vérité sur le plan noir de l’Eglise. L’apport des différences…attelé à la  même tache d’œuvrer au bien commun.
  • La question de la différence, ça amène à cette question de fond comment construisons nous ensemble une Eglise qui écoute : Notion de fraternité +++ les uns avec les autres, mais aussi, en faveur des autres les plus vulnérables, les plus fragiles, , les plus loin et ceux qui se croient les plus loin. Les plus loin.
  • Comment penser vivre la différence et être dans ce souci-là, de comment la fraternité a à voir avec le compagnonnage du Christ, la fraternité du Christ, l’amitié du Christ avec quiconque, le Christ est aussi un ami de quiconque, pas des meilleurs, pas des chrétiens, pas des catholiques, pas de quelques-uns parmi les chrétiens, pas des catholiques romains parmi les catholiques il est aussi avec quiconque, c’est ça sa vocation humaine

Journée Mondiale de Prière

Journée Mondiale de Prière





L’artiste et son œuvre

Halima Aziz, née en 1999 à Hagen, en Allemagne est une artiste visuelle palestinienne passionnée. Elle est étudiante en design en Allemagne.
Sa mère est originaire de Tulkarem en Cisjordanie et son père de Gaza.
Elle a passé son enfance en Palestine. En 2008, Halima s’est malheureusement trouvée à Gaza pendant la guerre et elle a survécu. En 2009, elle est retournée en Allemagne.
Elle s’est intéressée à l’art dès son plus jeune âge et a toujours aimé peindre. Elle a commencé à peindre professionnellement en 2017 en participant à un projet d’école d’art. Halima préfère souvent laisser sa créativité s’exprimer spontanément pendant qu’elle peint, en faisant confiance au processus créatif, sans planifier à l’avance exactement comment elle veut peindre et ce qu’elle veut peindre.
Elle aime faire des peintures colorées qui interpellent, dont la plupart expriment des sentiments précis ou ont une signification particulière. Elle s’inspire surtout de la nature, des musées d’art, des livres ou de la Palestine de son enfance. Elle représente fièrement l’héritage, l’identité, la vie, la culture, l’histoire et la tradition de la Palestine à travers ses peintures. Halima se sent plus proche de sa patrie lorsqu’elle la peint.
Ses œuvres mettent en exergue ses sentiments et ses émotions par rapport à ce qu’elle a vécu en Palestine. Par chaque coup de pinceau, elle exprime et souligne l’histoire du peuple palestinien et sa lutte pour résister à l’occupation. Elle espère que ses peintures pleines de sens racontent au monde la volonté et l’énergie palestiniennes. Ne jamais se laisser oublier.
« Je pense qu’à travers mes œuvres et celles d’autres artistes palestiniens talentueux, les gens comprendront plus clairement ce que nous, Palestiniens, ressentons et ce que nous devons traverser. Tout le monde devrait s’en préoccuper, car il s’agit d’une question de droits humains.J’espère et je suis convaincue qu’un jour la Palestine sera libre et que nous pourrons
retourner en paix dans nos maisons et auprès de nos familles. »

Samedi 2 mars, nous étions une  vingtaine de personnes rassemblées, à l’invitation de l’A.C.F. (Action Catholique des Femmes) de Bressuire pour participer au temps de prière de la J.M.P. (Journée Mondiale de Prière), préparé cette année par des femmes de Palestine.
Nous avons été invitées à prier ensemble sur le thème  » Je vous exhorte… supportez-vous les uns les autres dans l’amour « , inspiré d’Éphésien 4, 1-7.
Après la procession des offrandes,  une prière d’ouverture a été lue ;  nous avons prié pour la paix, puis avons loué notre Dieu.

Nous avons écouté les lectures de l’évangile du chapitre 15 de Saint Jean et de l’Epître de Saint Paul aux Ephésiens.

Une prière d’intercession le Notre Père nous ont permis d’échanger et de partager la paix du Christ

Les nombreuses paroles d’engagement des femmes nous ont sensibilisés à la prière communautaire et universelle.

Une bénédiction finale à clôturé cette soirée.

Pauline G. pour le groupe

Pastorale des Jeunes en Bocage

Pastorale des Jeunes en Bocage

AUMÔNERIE DES JEUNES DU BOCAGE

L’Aumônerie des jeunes du Bocage fait partie de l’Association Diocésaine de la pastorale des jeunes du Bocage (association loi 1901).

Elle rassemble les jeunes collégiens et lycéens de 11 à 18 ans.

Elle propose des rencontres de groupes (à Bressuire), des animations et des temps forts, des invitations aux rencontres diocésaines pour les jeunes de la fraternité des 3 paroisses du Bocage à savoir :

Voir toutes les infos de la Pastorale des jeunes en Bocage